J'aime les grafitis. Ils dépassent souvent de loin leurs auteurs en pensée. Ils sont ambigus. Ils pensent par eux-mêmes.
C'est un mot banal. Pourtant si j'y crois un temps de toutes mes forces, je réalise que c'est le but de ce journal. C'est l'espoir de ma vie. C'est toute ma joie.
Il n'est de liberté sans esprit libre.