Vu dans une vitrine de Sarlat, moi-même. Artiste inconnu. Joconde ne sourit plus La mode a passé de siècle Le respect ne tient plus Le mérite d'une culture Ne reste que parodie Rire de l'absurde Carnaval des anémies Face à l'angoisse La tâche masque noir...
À Toulouse, sapiens latine à la jaune et constelle à la blanche... Je sors Il y a des milliers de gommes dans le noir Des manques dans le sol Aspérités Puisque nature est morte (et qu'on ne voit plus d'étoiles à cause des réverbères) Le nostalgique sapiens...
Essayer de regrouper tant bien que mal tout ce qui de moi part irrésistiblement à la noyade. C'est le but que j'écris. Alors pour d'hypothétiques lecteurs, commencer par faire des liens avec moi avant (chronologiquement): Avant la prépa: http://terredesorcades.blogspot.fr/...
J'aime les grafitis. Ils dépassent souvent de loin leurs auteurs en pensée. Ils sont ambigus. Ils pensent par eux-mêmes. C'est un mot banal. Pourtant si j'y crois un temps de toutes mes forces, je réalise que c'est le but de ce journal. C'est l'espoir...
Partir Partir loin comme pour te retrouver Abandonner tout ici Oserais-je le dire ? Abandonner cette vie qui ne me rend pas heureux. Abandonner tout. Savoir que je ne vais pas te retrouver. Partir quand-même. Chercher une place, un village. Un tabac,...
Non, ce n'est pas l'éthylisme qui a motivé mon choix! Bien que grand buveur de café et autres, c'est un poème d'Omar Khayyâm, dans Vivre te soit bonheur (Cent un quatrains de libre pensée) qui m'a inspiré. 57 Nul n'est admis aux secrets Qui se trament...
Que le libéralisme mesure COMBIEN Il vit au dessus de ses moyens Lui qui compte tellement ses sous